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Un ETF (Exchange Traded Fund), ou fonds négocié en bourse, est un fonds d’investissement qui réplique la performance d’un indice boursier, d’un secteur ou d’un actif (matières premières, obligations, etc.).
Caractéristiques principales :
- Cotation en bourse : Il s’achète et se vend comme une action sur les marchés financiers.
- Gestion passive : L’ETF suit automatiquement un indice sans intervention active d’un gérant.
- Diversification : Un seul ETF permet d’investir sur plusieurs entreprises ou actifs en une seule transaction.
- Frais réduits : Moins chers que les fonds traditionnels gérés activement.
Les ETF couvrent une large gamme d’actifs :
1. ETF actions
- Suivent des indices boursiers comme le CAC 40, S&P 500, NASDAQ-100, MSCI World…
- Peuvent être géographiques (Europe, USA, marchés émergents…) ou sectoriels (technologie, énergie, santé…).
2. ETF obligataires
- Investis dans des obligations d’État ou d’entreprises.
- Moins volatils que les ETF actions, mais rendement souvent plus faible.
3. ETF matières premières
- Répliquent le prix de l’or, pétrole, argent, gaz naturel…
- Peuvent être adossés à des contrats à terme et non aux matières elles-mêmes.
4. ETF ESG (Investissement Responsable)
- Sélectionnent des entreprises respectant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
- Excluent certains secteurs comme les énergies fossiles ou le tabac.
5. ETF thématiques
- Se concentrent sur des tendances spécifiques (intelligence artificielle, blockchain, transition énergétique, robotique…).
Un ETF réplique la performance d’un indice de manière mécanique grâce à deux méthodes :
- Réplication physique : L’ETF achète réellement les actions ou obligations de l’indice qu’il suit.
- Réplication synthétique : L’ETF utilise des produits dérivés pour reproduire la performance de l’indice sans détenir les actifs.
Les ETF sont cotés en bourse et peuvent être achetés/vendus à tout moment pendant les heures de marché, contrairement aux fonds traditionnels qui s’achètent à la valeur liquidative en fin de journée.
Diversification instantanée : Un seul ETF permet d’investir sur des dizaines ou centaines d’actions en une seule transaction.
Frais réduits : Les frais de gestion sont inférieurs à 0,5 % pour la plupart des ETF, contre 1 à 2 % pour les fonds gérés activement.
Transparence : On sait exactement quels actifs sont détenus et comment l’ETF évolue.
Accessibilité : On peut commencer à investir avec quelques dizaines d’euros seulement.
Flexibilité : Achat et vente possible à tout moment sur la bourse, comme une action.
Les ETF ont des frais généralement beaucoup plus bas que les fonds traditionnels.
- Frais de gestion : entre 0,05 % et 0,50 % par an, prélevés directement sur la valeur de l’ETF.
- Frais de courtage : Dépendent de votre courtier en ligne (généralement entre 0 % et 0,5 % par transaction).
- Spread achat/vente : Petite différence entre le prix d’achat et de vente.
La fiscalité dépend du type de compte utilisé pour investir dans les ETF.
1. Compte-titres ordinaire (CTO)
- Dividendes et plus-values soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 % (12,8 % impôt + 17,2 % prélèvements sociaux).
- Possibilité d’opter pour l’imposition au barème progressif de l’IR si plus avantageux.
2. Plan d’Épargne en Actions (PEA)
- Uniquement accessible aux ETF européens.
- Exonération d’impôt après 5 ans (seuls les prélèvements sociaux de 17,2 % restent dus).
- Aucune taxation en cas d’arbitrage entre ETF sur le PEA.
Le PEA est donc souvent préférable pour les ETF éligibles.
Le capital est versé aux bénéficiaires désignés. La fiscalité varie selon l’âge du souscripteur au moment des versements :
- Avant 70 ans : exonération jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire.
- Après 70 ans : exonération limitée à 30 500 € pour l’ensemble des bénéficiaires.
Le souscripteur peut désigner toute personne de son choix :
- Conjoint, enfants, proches, amis, ou même une association.
- Une clause bénéficiaire bien rédigée permet d’éviter des litiges.
Oui, il est possible de souscrire plusieurs contrats pour :
- Diversifier ses investissements.
- Optimiser la fiscalité en répartissant les gains.
- Adapter ses contrats à différents objectifs (court, moyen, long terme).
Non, les fonds restent disponibles à tout moment. La durée de ans concerne uniquement l’avantage fiscal sur les gains.
Un contrat d’assurance-vie n’est pas transférable d’un assureur à un autre. La seule solution est de racheter le contrat et d’en ouvrir un nouveau, ce qui peut entraîner une fiscalité.
- Fonds en euros : capital garanti, rendement stable mais faible.
- Unités de compte (UC) : placements en actions, obligations, SCPI… plus risqués mais avec un potentiel de rendement supérieur.
Il est conseillé de comparer :
- Les frais (entrée, gestion, arbitrage).
- Les rendements des fonds en euros.
- La diversité des unités de compte.
- La souplesse des versements et des rachats.
- Les options de gestion libre ou pilotée.
La désignation se fait via la clause bénéficiaire du contrat. Elle peut être modifiée à tout moment, par avenant ou testament notarié.
En principe, elle est insaisissable par les créanciers, sauf en cas de fraude ou dettes fiscales.
Non, mais après 70 ans, la fiscalité sur les versements devient moins avantageuse.
Si aucun bénéficiaire n’est désigné, le capital entre dans la succession et subit les droits de succession classiques.
Non, sauf si les bénéficiaires ne sont pas désignés ou pour les sommes versées après 70 ans au-delà de 30 500 €.
- Assurance-vie : contrat d’épargne avec un capital récupérable.
- Assurance décès : contrat de prévoyance qui ne verse un capital qu’en cas de décès.
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L’assurance-vie est un produit d’épargne qui permet d’épargner à moyen ou long terme tout en bénéficiant d’un cadre fiscal avantageux. Le capital accumulé peut être récupéré par le souscripteur lui-même ou transmis à des bénéficiaires en cas de décès. Elle peut servir à :
- Constituer une épargne pour des projets futurs (achat immobilier, études des enfants, retraite…).
- Transmettre un capital à ses proches dans des conditions fiscales optimisées.
- Générer un complément de revenus grâce à des rachats ou une rente viagère.
L’assurance-vie présente plusieurs avantages :
- Une épargne flexible : il est possible d’effectuer des versements réguliers ou ponctuels selon ses moyens.
- Un outil de transmission du patrimoine : L’assurance-vie permet de transmettre un capital hors succession, ce qui peut éviter les frais de succession élevés et simplifier la répartition des biens. L’assuré peut désigner librement les bénéficiaires de son choix (famille, amis, associations, etc.). La fiscalité est très avantageuse pour les bénéficiaires :
- Jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire, les sommes transmises sont exonérées d’impôt si les primes ont été versées avant 70 ans.
- Après 70 ans, un abattement global de 30 500 € s’applique, et le surplus est soumis aux droits de succession selon le lien de parenté. Cela en fait un outil idéal pour transmettre son patrimoine sans passer par les règles classiques de la succession.
- Un complément de revenus pour la retraite : possibilité de retirer une rente ou des rachats programmés.
- Une fiscalité attractive : les gains sont soumis à un impôt réduit après 8 ans de détention.
Toute personne, majeure ou mineure, peut ouvrir un contrat d’assurance-vie.
- Pour un mineur, la souscription se fait avec l’accord des représentants légaux.
- Une personne sous tutelle ou curatelle peut aussi souscrire avec l’accord du juge des tutelles.
Le montant minimum varie selon les contrats et les assureurs.
- Certains contrats sont accessibles dès 100 à 500 euros en versement initial puis dès 50€ en versements programmés
- D'autres demandent un premier versement plus élevé, surtout dans les contrats haut de gamme.
Oui, l’argent reste disponible à tout moment sous plusieurs formes :
- Rachat partiel : retrait d’une partie du capital sans clôturer le contrat.
- Rachat total : retrait de la totalité du capital, ce qui met fin au contrat.
- Avance : prêt accordé par l’assureur sur la base du contrat, sans impacter la fiscalité.
La fiscalité dépend de la durée de détention du contrat :
- Avant 8 ans : gains soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 % (12,8 % d’impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux).
- Après 8 ans : abattement fiscal annuel de 4 600 € (personne seule) ou 9 200 € (couple), puis taxation réduite à 7,5 % au-delà.
Le capital est versé aux bénéficiaires désignés. La fiscalité varie selon l’âge du souscripteur au moment des versements :
- Avant 70 ans : exonération jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire.
- Après 70 ans : exonération limitée à 30 500 € pour l’ensemble des bénéficiaires.
Le souscripteur peut désigner toute personne de son choix :
- Conjoint, enfants, proches, amis, ou même une association.
- Une clause bénéficiaire bien rédigée permet d’éviter des litiges.
Oui, il est possible de souscrire plusieurs contrats pour :
- Diversifier ses investissements.
- Optimiser la fiscalité en répartissant les gains.
- Adapter ses contrats à différents objectifs (court, moyen, long terme).
Non, les fonds restent disponibles à tout moment. La durée de ans concerne uniquement l’avantage fiscal sur les gains.
Un contrat d’assurance-vie n’est pas transférable d’un assureur à un autre. La seule solution est de racheter le contrat et d’en ouvrir un nouveau, ce qui peut entraîner une fiscalité.
- Fonds en euros : capital garanti, rendement stable mais faible.
- Unités de compte (UC) : placements en actions, obligations, SCPI… plus risqués mais avec un potentiel de rendement supérieur.
Il est conseillé de comparer :
- Les frais (entrée, gestion, arbitrage).
- Les rendements des fonds en euros.
- La diversité des unités de compte.
- La souplesse des versements et des rachats.
- Les options de gestion libre ou pilotée.
La désignation se fait via la clause bénéficiaire du contrat. Elle peut être modifiée à tout moment, par avenant ou testament notarié.
En principe, elle est insaisissable par les créanciers, sauf en cas de fraude ou dettes fiscales.
Non, mais après 70 ans, la fiscalité sur les versements devient moins avantageuse.
Si aucun bénéficiaire n’est désigné, le capital entre dans la succession et subit les droits de succession classiques.
Non, sauf si les bénéficiaires ne sont pas désignés ou pour les sommes versées après 70 ans au-delà de 30 500 €.
- Assurance-vie : contrat d’épargne avec un capital récupérable.
- Assurance décès : contrat de prévoyance qui ne verse un capital qu’en cas de décès.
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